4ÈME PORTIQUE : CHAPITRE 32
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La Torah restaure [les destructions causées par les fautes] et protège [du penchant au mal] ; elle est le seul environnement [qui permet] la vie.
(Pr. Gross : Un élixir de vie pour un Univers unifié)
Tout ceci est pour cette raison déjà invoquée [à plusieurs reprises], à savoir que la source supérieure de la Torah transcende tous les mondes.
C'est cette idée que j'ai développée (dans le premier Portique, chap. 20), et qui est la raison sous-jacente de l'enseignement de nos Sages de mémoire bénie (Shabbat 119b) : « Tout celui qui répond ' אמן יהא שׁמיה רבּה - (Amen yéhé Shemeh rabba) ' [au Qaddish] avec toute sa force, toutes ses fautes lui sont pardonnées. »
[L'explication peut être la suivante : la concentration adéquate, en répondant ' אמן יהא שׁמיה רבּה - (Amen yéhé Shemeh rabba) ' permet la restauration de la connexion de tous les mondes, et elle est l'essence de la Téshouva ; c'est pourquoi toutes ses fautes lui sont pardonnées (note de Rav Fraenkel) ; j'ajoute que cette même concentration a pour effet d'annuler les mauvais décrets qui auraient été pris dans les Cieux, contre un individu, une communauté, le 'Am Israël.]
L'idée, c'est que l'étude de la Torah d'une personne (effectuée comme il convient), éveille sa source supérieure [celle de la Torah], qui épanche et répand une lumière supérieure et une Qédousha sur tous les mondes, « רְשָׁפֶיהָ-רִשְׁפֵּי, אֵשׁ שַׁלְהֶבֶתְיָה. - (réshaféiah rishféi esh, shaléevtéiah - ses traits sont des traits de feu, une flamme divine - Shir haShirim 8,6), le feu redoutable qui chasse et détruit toute impureté et toute souillure qu'il aurait causé par ses actions dans tous les mondes. [C'est ainsi qu']il se sanctifie, et éclaire d'un surcroît de Qédousha supérieure, pour reconnecter [les mondes] l'un à l'autre, pour pallier à tous les défauts, réparer tous les dommages, et reconstruire tout ce qui a été détruit, avec un bonheur et une joie accrues, et [un épanchement] de lumière supérieure dans tous les mondes.
Plus encore, comme on le sait, toute chose [endommagée] ne peut être réparée dans sa source supérieure que par la source supérieure de chaque Juif, qui est une lettre de la Torah (voir 4ème Portique, chap. 11). Par conséquent, tout dommage causé par « הַנֶּפֶשׁ הַחֹטֵאת - une âme qui a péché » (Ye'hesqel 18,4) peut être rectifié au niveau de sa source dans la sainte Torah, par une étude assidue.
Il est écrit (Téhillim 19,8) : « תּוֹרַת יְהוָה תְּמִימָה, מְשִׁיבַת נָפֶשׁ - La Tora de D.ieu est parfaite, elle restaure l'âme ».
[Cela signifie] que même si, חס ושׁלום, le Nefesh a déjà été déconnecté de sa source, חס ושׁלום, et « וַתֵּרֶד פְּלָאִים - elle est tombée d'une manière prodigieuse » dans les profondeurs des abysses du mal, חס ושׁלום.
[Contexte du verset : « Jérusalem a gravement prévariqué, aussi est-elle devenue un objet de répulsion; tous ceux qui l'honoraient la bafouent, car ils ont vu sa nudité. Elle-même soupire et détourne la face. Sa souillure est attachée aux pans de sa robe: elle ne songeait pas à l'avenir ! Elle est donc tombée d'une manière prodigieuse, et personne ne la console. (Eikha 1,9)],
la Torah qu'il étudie relève et libère [le Nefesh] de ses pièges et la rétablit dans son ancien état de connexion, en même temps qu'une lumière supplémentaire de la Sainte Torah.
Nos sages ont également enseigné (Ta'anit 7a) : Rabbi Benaah a enseigné dans une Baraïta : Celui qui étudie la Torah lishmah, la Torah devient pour lui un élixir de vie comme il est écrit (Mishlei 3,18) : « עֵץ-חַיִּים הִיא, לַמַּחֲזִיקִים בָּה - Elle est un arbre de vie pour ceux qui s'en rendent maîtres » et encore (ibid 8,35) « כִּי מֹצְאִי, מצאי (מָצָא) חַיִּים - Qui m'a trouvée [c.à d. la Torah] a trouvé la vie.
Qu'apprenons-nous du verset (Shemot 15,26) « כִּי אֲנִי יְהוָה, רֹפְאֶךָ - Car Je suis Hashem qui te guérit» : D.ieu dit à Moshé : Dis à Israël que la Torah que Je vous ai donnée est un remède pour vous, qu'elle est pour vous la vie comme il est écrit (Mishlei 4,22) : « כִּי-חַיִּים הֵם לְמֹצְאֵיהֶם - Car elles [les paroles de la Torah] sont la vie pour ceux qui les trouvent »
C'est pourquoi les Rishonim de mémoire bénie ont institué le nusa'h (la liturgie) du Widouï (la confession des fautes) sous la forme d'un acrostiche alphabétique, pour éveiller la source supérieure de l'âme de chacun, qui est reliée à la sainte Tora, pour la purifier et la sanctifier.
[Deux observations :
1. On a étudié dans le premier portique les trois dimensions de l'âme humaine, Nefesh roua'h Neshama (NeRaN), en relation avec la sanction de Karet d'une part, et en relation avec la prière d'autre part. Nous avons appris que seule la dimension de Nefesh est affectée par la peine de Karet. Encore ne s'agit-il que des neuf niveaux inférieurs de Nefesh, qui peuvent ainsi se trouver séparés des autres dimensions de l'âme. On a appris que la prière peut opérer cette reconnexion, et on n'est pas surpris d'apprendre ici que l'étude a le même effet.
2. Risquant une métaphore, on pourrait dire que les fautes d'un homme sont comparables à des bogues introduits dans un logiciel parfait au départ. De tels défauts, en petit nombre, ou placés à des endroits non stratégiques du code, causeront des dégâts modérés, bien que, même dans ce cas, une petite erreur puisse parfois avoir de graves conséquences. Évidemment, à plus forte raison, si les erreurs sont nombreuses et graves, alors le logiciel peut non seulement cesser de fonctionner, mais aussi causer de très importants dégâts dans son environnement, par exemple, si le logiciel régule la circulation ferroviaire, ou pilote une centrale nucléaire !
Mais ce n'est pas tout. Aucune de ces erreurs n'est irréversible. Le code peut toujours être corrigé ; dans tous les cas, on peut remonter à la source de l'erreur, et la réparer.
Bien entendu, cela demande toujours un travail minutieux et régulier.
La Torah est le code de toute la Création, et par conséquent de toute vie. Le merveilleux enseignement de Rabbi 'Haïm est donc le suivant : D.ieu nous a donné un instrument absolument infaillible pour corriger nos vies : par une étude assidue, il est toujours possible de remonter à la source supérieure de la Torah, et d'y réparer les dégâts que nos fautes ont causés !]
Tant qu'une personne est connectée à la Torah de D.ieu et s'attache à elle, et s'épanouit continuellement grâce à son amour de la Torah, elle l'éclairera et le protégera dans toutes ses entreprises, et l'empêchera de tomber dans les filets du Yetser, חס ושׁלום. [Shemot Rabba 36,3, au sujet du verset déjà abondamment commenté : « כִּי נֵר מִצְוָה, וְתוֹרָה אוֹר - Car la mitsva est une lampe et la Torah une lumière » compris comme : la lumière de la Torah empêche l'homme de trébucher du fait du penchant au mal.]
C'est ce qu'ont enseigné 'Hazal : « בְּלִבִּי, צָפַנְתִּי אִמְרָתֶךָ- לְמַעַן, לֹא אֶחֱטָא-לָךְ - Dans mon cœur j'ai caché Tes paroles, afin que je ne faute pas contre Toi » Le penchant au mal n'exerce pas son pouvoir lorsqu'il est proche de la Torah ; Il n'a pas de contrôle sur celui qui a la Torah dans son cœur, et ne peut rien contre lui (Midrash Tehillim 119,11).
Rabbi Shimon bar Yo'haï a dit : celui qui place les paroles de la Torah sur son cœur, dix épreuves difficiles lui seront épargnées : les pensées de faute, l'inquiétude de la guerre, la crainte du gouvernement, les pensées de folie, les pensées [inspirées par le] penchant au mal, les pensées impures, le souci [causé par une] femme mauvaise, les pensées d'idolâtrie, l'inquiétude [de subir] le joug d'autrui, les pensées de choses vaines (Midrash Eliyahou Zuta Parsha 16).
« וּמַלְבַּשְׁתּוֹ עֲנָוָה וְיִרְאָה - Il [כָּל הָעוֹסֵק בַּתּוֹרָה לִשְׁמָהּ - Celui qui s'investit dans la Torah lishmah.] se revêt d'humilité et de crainte [de D.ieu] » (Avot 6,1) et il aura toutes les midot appropriées.
Il ne craindra pas la tentation du penchant au mal de tirer profit de ce monde et de ses plaisirs, car il contrôle son yetser, et « le plie à tous ses désirs » (Mishlei 21,1). Il sera guidé par le conseil de la Torah. Il s'établira en pleine lumière, et la lumière de la Torah l'atteindra dans toutes ses voies au point qu'il percevra correctement et adoptera la bonne attitude dans toutes ses activités terrestres.
Comme l'enseignent nos Maîtres de mémoire bénie (Qiddoushin 30b) : « וְשַׂמְתֶּם אֶת-דְּבָרַי אֵלֶּה, עַל-לְבַבְכֶם וְעַל-נַפְשְׁכֶם - Vous placerez Mes paroles sur votre cœur et sur votre âme. » (Devarim 11,18 - 2ème paragraphe du Shéma)
וְשַׂמְתֶּם (Wesamtem) : [peut être lu:] סם תם (sam tam) un pur élixir : la Torah est comparée à un élixir de vie.
C'est comme un homme qui donne le fouet à son fils, et qui place ensuite un pansement sur ses plaies. Il lui dit : Mon fils, tant que le pansement est sur ta plaie, mange et bois sans crainte ce que tu veux, mais si tu enlèves le pansement, l'infection apparaîtra sur tes blessures.
De la même manière, D.ieu dit à Israël : Mes enfants, J'ai créé le penchant au mal, et J'ai créé le remède : la Torah (Note 52, en fin de chapitre). Si vous étudiez la Torah, vous ne serez pas sous le contrôle [du mauvais penchant], comme il est écrit : « הֲלוֹא אִם-תֵּיטִיב, שְׂאֵת, - Si tu t'améliores, tu pourras te relever (ou : tu seras pardonné) » mais si tu n'étudies pas la Torah, alors, tu seras sous son contrôle, comme l'indique la suite du verset : « וְאִם לֹא תֵיטִיב, לַפֶּתַח חַטָּאת רֹבֵץ - Mais si tu ne t'améliores pas, alors le péché est tapi à ta porte. »
Comme l'expliquent 'Hazal : lorsque tu avances elle te guidera, c'est-à-dire que la Torah te guidera dans ce monde.
Ou encore ce Midrash : Heureux celui qui a acquis la Torah. Pourquoi ? Parce qu'elle le protège des mauvaises actions, comme il est dit : « בְּהִתְהַלֶּכְךָ, תַּנְחֶה אֹתָךְ - Qu'ils [les enseignements de la Torah] te guident dans tes marches » [voir ici Pirké Avot 6,9].
La Torah le guidera et dirigera son cœur au point que « וְלֹא-הָיָה לְבָבוֹ שָׁלֵם עִם-יְהוָה אֱלֹהָיו, (כִּלְבַב דָּוִיד אָבִיו) - Son cœur sera entièrement avec Hashem son D.ieu » (I Melakhim 11,4) et que « וְלֹא-נֶאֶמְנָה אֶת-אֵל רוּחוֹ - son esprit [est] sincèrement fidèle à D.ieu », pour Le servir de tout son cœur, et avec ses deux penchants, le bon et le mauvais. (Berakhot 54a)
« Les paroles des Sages sont comme des aiguillons » (Qohelet 12,11). Pourquoi les paroles de la Torah sont-elles comparées à un aiguillon ? Tout comme l'aiguillon guide le bœuf le long du sillon pour amener la vie dans ce monde, les paroles de la Torah guident les cœurs de ceux qui l'étudient loin du sentier de la mort, vers un chemin de vie. ('Haguiga 3b).
Car il n'existe absolument aucun autre remède ni moyen de corriger (תקנה - takana) dans ce monde [autre que la Torah], et de sauver [l'homme] des filets du penchant au mal, qui est constamment enroulé autour de ses jambes pour le piéger et l'entraîner au plus profond de l'abîme, pour le tuer d'une mort éternelle, חס ושׁלום.
Cependant, grâce à l'étude de la sainte Torah, il est appelé « une personne vivante », et il reste attaché à sa part de la véritable vie éternelle, comme il est dit (Mishléi 4,13) : « כִּי-הִיא חַיֶּיךָ - Car elle est ta vie ».
Comme l'enseignent encore nos Maîtres de mémoire bénie (AZ 3b) : Que signifie [le verset] (Habaquq 1,14) « וַתַּעֲשֶׂה אָדָם, כִּדְגֵי הַיָּם - Tu as fait l'homme comme les poissons de la mer » ? De même que les poissons meurent immédiatement s'ils sont retirés de l'eau, de même l'homme meurt instantanément s'il est séparé de la Torah.
C'est ainsi que Rabbi Aqiva répond à Papus ben Yéhuda [en utilisant cette métaphore des poissons] : si déjà nous craignons [pour notre vie] dans un environnement où nous pouvons vivre (c'est-à-dire l'eau), alors à plus forte raison devons-nous craindre dans un environnement où nous sommes certains de mourir. (Berakhot 61b).
De même que les poissons de la mer vivent dans l'eau, de même les Talmidéi 'Hakhamim, les Maîtres de la Mishna vivent avec la Torah, et s'ils en sont séparés, ils meurent immédiatement (Zohar I Lekh lekha).
« כִּי-חַיִּים הֵם לְמֹצְאֵיהֶם - Car elles [les paroles de la Torah] sont la vie pour ceux qui les trouvent » (Mishlei 4,22). Ceci est enseigné parce que tout celui qui trouve les paroles de la Torah a trouvé la vie (Midrash Tan'huma Eqev 5)
Heureuse est la part d'Israël, car la Torah leur enseigne les voies de D.ieu. Il est écrit : תורת הי תמימה (la Torah de D. est parfaite - Tehillim 19,8).
Heureuse est la part de celui qui étudie la Torah et ne s'en sépare pas, car celui qui se sépare de la Torah, ne serait-ce qu'une heure, c'est comme s'il se séparait de la vie dans ce monde, comme il est écrit : « כִּי-הִיא חַיֶּיךָ - Car elle est ta vie » et « כִּי אֹרֶךְ יָמִים, וּשְׁנוֹת חַיִּים- וְשָׁלוֹם, יוֹסִיפוּ לָךְ - Car ils te vaudront de longs jours, des années de vie et de paix » (Mishléi 4,13 et 3,2).
Heureuse est la part d'Israël, car D.ieu les désire et leur a donné une Torah de Vérité, l'Arbre de vie que l'homme acquiert, pour hériter de la vie dans ce monde et dans le monde à venir. Tout celui qui peine dans l'étude de la Torah et l'acquiert, acquiert la vie. Et celui qui délaisse les paroles de la Torah et s'en sépare, c'est comme s'il se coupait de la vie [elle-même], car elle est la vie, et tous ses mots sont la vie. Ainsi qu'il est écrit : « כִּי-חַיִּים הֵם - Car elles sont la vie » et «רִפְאוּת, תְּהִי לְשָׁרֶּךָ; וְשִׁקּוּי, לְעַצְמוֹתֶיךָ - Ce sera la santé pour ton corps; une sève généreuse pour tes membres. »
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Note
52 - L'étude de la Torah est le seul remède contre le mauvais
penchant
On
peut expliquer cela selon le Drash (על
דרך דרשׁ - niveau
symbolique et allégorique), comme il est écrit :
« וְהַלֻּחֹת-מַעֲשֵׂה
אֱלֹהִים,
הֵמָּה;
וְהַמִּכְתָּב,
מִכְתַּב
אֱלֹהִים הוּא--חָרוּת,
עַל-הַלֻּחֹת
- Et
ces tables étaient l'ouvrage de Éloqim ; et l'écriture était
écriture de Éloqim gravée (חָרוּת)
sur les tables. » Nos Sages expliquent : Ne lis pas
חָרוּת
('Harout)
mais 'Hérout (liberté), car seul est libre l'homme qui étudie la
Torah.
Cette idée est expliquée par le 'Hassid, le Ram'hal (רמח"ל - Rabbi Moshé 'Haïm Luzzato - 1707-1746) qui interprète le Midrash cité plus haut : D.ieu dit à Israël : Mes enfants, J'ai créé le penchant au mal, et J'ai créé le remède : la Torah (Messilat Yésharim 5).
Il en va de même d'un médicament [dans le monde] physique. Le médecin prescrit pour une personne malade une composition de potions et d'herbes diverses dosées avec une extrême précision, selon le traitement spécifique que requiert la maladie et que le médecin connaît.
Il ne viendrait pas à l'idée du patient de composer lui-même un remède différent avec tout ce qui lui tombe sous la main ! Qui serait assez stupide pour ne pas comprendre cela ? Certainement, c'est le médecin qui connaît la maladie et qui est capable de formuler correctement le traitement adapté.
De la même manière, D.ieu dit : « Ne crois pas que tu peux échapper à l'étreinte de l'inclination au mal par tes propres moyens. N'est-ce pas Moi Qui ai créé l'inclination au mal, et Qui connais sa nature ? N'est-ce pas Moi Qui ai créé la Torah comme antidote et élixir de vie pour soigner la maladie ? C'est pourquoi, sachez qu'en dehors de la Torah, il n'y a pas d'alternative pour traiter [le yetser] avec succès.
C'est le sens de : « וְהַלֻּחֹת-מַעֲשֵׂה אֱלֹהִים - Et les tables étaient l'œuvre de Éloqim » ce sont les tables du cœur qui désire (comme il est écrit - Mishlei 3,3 : כָּתְבֵם, עַל-לוּחַ לִבֶּךָ - inscris-les sur les tablettes de ton cœur), D.ieu les a faits et Il connaît la nature du Yetser qui est implanté dans ton cœur, et « וְהַמִּכְתָּב, מִכְתַּב אֱלֹהִים הוּא - l'écriture était écriture de Éloqim ». Pour s'opposer à lui (le penchant au mal) Il a donné l'étude de la Torah, pour écrire et graver de manière indélébile sur « les tablettes de ton cœur » et t'en servir pour échapper [aux pièges] du penchant au mal.
Par conséquent, sache qu'il n'existe aucune autre voie pour te libérer du yetser que de t'investir dans l'étude de la Torah !
Mis en ligne le 19 Nissan 5778 (4ème jour du Omer) - 5 avril 2018